Lauréats du dispositif Quart2Tour, Clameurs propose une fusion électro-acoustique unique, mêlant des influences baroques, arabes et rock méditerranéen. Leur musique crée un pont entre tradition et modernité, offrant une expérience sonore originale et captivante.

Après un premier album éponyme Taranta Lanera revient avec un nouvel album de tarentelle électronique en polyphonie:  Traumaturgia, l’art d’accomplir des miracles. Ce deuxième album aux sonorités transes célèbre la liberté, l’amour, la résilience et questionne notre folie intérieure. Inspiré de la tarentelle, musique traditionnelle et populaire du Sud de l’Italie, il reprend ses rythmes effrénés et revisite ce rîte de désenvoutement séculaire en un rituel de reconnection aux autres et à soi même. Traumaturgia révèle la permanence des trauma endurés par les femmes et utilise la musique et la danse pour réenchanter le monde. 
La tarantella fa scazziare la gente* La Tarantella est un rite de désenvoûtement pratiqué en Italie du sud sur les personnes qu’on disait mordues par une araignée, la Tarantola (la tarentule). On extirpait le venin, le mal, en faisant danser ces tarantati sans arrêt pendant des heures, jusqu’à épuisement. 

* La Tarantella rend les gens fou

Kimia, (artiste toulousaine d’origine congolaise) et Julien‘Noko Decoret (Issue de la scène Rock Punk), ont fusionné leurs univers pour créer une musique afro-électro hybride, mêlant poésie, danse  et transe.

Depuis sa création en 2008, KOFI est une aventure musicale en constante évolution, aussi éclectique qu’inclassable. Le projet fusionne des genres tels que le rock, le hip-hop, le dub, tout en s’imprégnant des sonorités et des polyrythmies du Golfe de Guinée.

À la tête de cette odyssée sonore se trouve Alexis Hountondji, à la batterie, aux percussions, à la guitare, au chant et aux machines, accompagné par Vincent Tochet alias Kobé à la basse. Dans ce creuset d’influences, l’Afrique se manifeste comme une mémoire profonde qui émerge du cœur sombre de Babylone et imprègne chaque beat et chaque note.

Leïla Chaix est artiste : ça veut dire qu’elle produit des formes, fait des traces avec sa pensée. Elle traduit son agitation, ses inquiétudes ; elle prend sa subjectivité, la roule en boule, la froisse, la déplie et l’étale. Ça donne des livres, des textes, des images, de la scène, des performances. Avant de publier de livres, elle a fait du dessin, de la peinture et de la gravure. Des vidéo-textes. Elle travaille avec des fragments. Elle cherche un langage fait d’images et d’expériences – une langue agglutinante. Une poésie intégrative qui mêle réflexions, sensations, vécu, imaginaire, récit. Pour gagner de l’argent ou se sentir utile elle anime des ateliers d’écriture, d’éducation populaire et de théâtre. Vous pouvez la trouver au café-librairie de Saorge (06). Son duo de musique cyberflæmme lui permet de donner une physicalité à ses textes en les disant accompagnée et amplifiée par la technologie sonore de son acolyte @azertype

Las Keita pratique la peinture et la sculpture non sans un fort intérêt pour la musique.
Un mix aux influences capverdiennes et sud-africaines mélangées à de la house, trap ou encore de la grime !
Soirée mouvementé et danse assurée !

Groupe de la vallée, Volte-face délivre un rock brut, avec des compositions incisives et énergiques, punk psyché avec des influences métal. Avec :
linda : chant
violette : guitare (tromatism, anima, ethnopaire)
nilos : claviers (parkaj mental, anima, ethnopaire)
gilles : batterie (minuit boulevard, contagion, huckleberry finn)

Scúru Fitchádu mêle funaná capverdien et sonorités punk. Sa prose anti-capitaliste et anticolonialiste résonne avec les réalités et les enjeux contemporains.